J’ai dans mon bureau un vieux porte-document. Il contient des chansons françaises et stéphanoises. Il a été créé par mon arrière grand-père et complété par mon père qui me l’a transmis. Contrairement à eux, je ne vous pousserais pas la chansonnette.
Dans ces documents, il y a de petits trésors qu’un historien local de la vie sociale et syndicale m’a demandé de ne pas perdre. Je ne suis pas encore tout à fait prêt à remettre l’ensemble à une bibliothèque publique ou associative comme le CEDRATS à Lyon. Néanmoins je veux bien m’amuser à en transmettre quelques unes. Je commencerai par l’Internationale, imprimée dans un journal parisien de 1903. Vous la connaissez sans doute. Je n’ai pu résisté à scanner la page de recto avec notamment les convocations et informations syndicales,
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